Quelles sont les meilleures méthodes pour juger la qualité d'un travail bien réalisé et honnête ?
C'est une super question. Perso, je pense qu'il y a une part d'intuition, mais aussi des signaux à observer. Tiens, en parlant d'évaluation, j'ai vu une vidéo pas mal sur le sujet, ça peut donner des pistes
https://www.youtube.com/watch?v=kts4W4mhnlY[/video] Le gars explique comment évaluer sa propre prestation, mais je pense que ça s'applique aussi pour juger le travail des autres. Faut voir si les résultats correspondent aux efforts annoncés, par exemple.
En fait, AquaMaven, je me demande surtout comment on peut s'assurer que le travail n'est pas seulement bien fait techniquement, mais aussi qu'il respecte certaines valeurs ou normes éthiques. Par exemple, dans la recherche d'infos, est-ce que les sources sont bien citées, est-ce qu'il y a du plagiat ? Ou dans un travail de conception, est-ce que les impacts environnementaux ont été pris en compte ? C'est ce genre de choses qui m'intéressent.
C'est clair que l'approche de Lisbeth Salander5 et Pénélope est interessante. Se focaliser sur la démarche, c'est un peu comme mater les fondations d'un immeuble avant de s'extasier devant la vue du dernier étage. Si les fondations sont bancales, t'as beau avoir une vue imprenable, tu flippes à la moindre secousse. Et en parlant de démarche, je pense qu'il y a moyen de rendre ça un peu plus... comment dire... mesurable. Genre, au lieu de juste se fier à son instinct, on pourrait mettre en place des outils pour évaluer le processus. Je pense à des grilles d'évaluation avec des critères précis, ou des entretiens réguliers pour discuter de la façon dont le travail est fait, pas seulement des résultats. Dans mon ancien taf, on avait mis en place un système d'auto-évaluation (avec une note sur 5) où chacun devait justifier ses choix et ses méthodes. Au début, c'était un peu galère, mais à la fin, ça permettait de mettre en lumière des trucs qu'on aurait jamais vus autrement. Et ça encourageait à être plus transparent sur les difficultés rencontrées. Et Isabella, je suis d'accord avec toi, c'est pas toujours facile de juger l'intégrité, surtout quand on connait pas bien les gens. Mais en mettant en place des processus clairs et transparents, on peut au moins limiter les risques. Et puis, faut pas hésiter à poser des questions, à demander des explications. C'est souvent en creusant un peu qu'on arrive à déceler les éventuels problèmes. D'ailleurs, 75% de transparence dans un process, c'est mieux que 90% de résultat avec une zone d'ombre, non ?
Mekane63, ton histoire d'auto-évaluation notée, c'est pas bête du tout. Ça me fait penser qu'on pourrait presque gamifier le truc, avec des badges pour la transparence ou l'innovation dans la démarche. Bon, faut pas que ça devienne une usine à gaz non plus, mais l'idée d'inciter à la bonne conduite par des moyens un peu ludiques, ça peut marcher.
L'idée de Sofia29 de gamifier l'auto-évaluation, c'est intéressant, mais il faut faire attention à ce que ça ne dénature pas le but premier. Si on commence à attribuer des badges juste pour le fun, on risque de perdre le focus sur la transparence et l'honneteté de la démarche. Le risque, c'est que les gens soient plus motivés par la collection de badges que par l'amélioration de leur travail. Et là, on arrive à un effet pervers, ou l'outil devient plus important que le but. Je pense que l'auto-évaluation, même sans gamification, peut déjà être très efficace si elle est bien encadrée. Il faut définir des objectifs clairs, des métriques tangibles, et surtout, instaurer une communication ouverte et honnête. Dans le domaine de l'orthophonie, par exemple, on utilise souvent des grilles d'observation pour évaluer les progrès des patients. On pourrait adapter ce genre d'outil pour l'évaluation du travail en entreprise, en se concentrant sur la façon dont les objectifs sont atteints, plutôt que sur le résultat brut. Mekane63 parlait d'un système de notation sur 5. C'est une bonne base, mais il faut que les critères d'évaluation soient très clairs et partagés par tous. Par exemple, on pourrait avoir un critère "respectdesnormeséthiques", avec des exemples concrets de ce que cela signifie. Ou un critère "transparencedeladémarche", où l'employé doit expliquer comment il a géré les difficultés rencontrées. Mais l'essentiel, c'est que l'auto-évaluation ne soit pas perçue comme une contrainte, mais comme une opportunité de progresser. Et pour cela, il faut que la direction soit à l'écoute et prête à prendre en compte les remarques et suggestions des employés. Après tout, une équipe où 80% des membres se sentent écoutés est beaucoup plus productive qu'une équipe où tout le monde a peur de dire ce qu'il pense.
Je me demandais, en fait, comment on fait pour vraiment dire qu'un travail est non seulement bien fait, mais aussi honnête. 🤔 C'est facile de voir si c'est propre et précis, mais comment on évalue l'intégrité derrière ça ? Est-ce qu'il y a des critères objectifs, ou c'est surtout une question de feeling ? J'aimerais bien avoir vos avis et méthodes pour juger ça. 🙏 C'est important, surtout quand on travaille avec des gens qu'on ne connaît pas forcément bien. 😅
Isabella Costa - le 20 Mars 2025